vendredi 15 juin 2012

Partie VI


De retour du bain, je constatai avec délice les différents mets commandé par Arnaud! et comme à chaque fois que j'étais en sa présence, je me goinfrais de frite, de poulet, de coca et j'en passe. je n'ai lésiné sur aucun des plats. Franchement, j'aime bien manger quand je fais l'amour. Sa me permet de "recharger mes batteries". Arnaud le savais bien, et comme à chaque fois c'était un vrai marathon entre tous les deux, il rechargeait à donf mes "batteries".
-tu ne termine pas ta quiche ? lui demandais je la bouche encore pleine de purée de pomme de terre.
Il me regarda avec un surir au lèvre en observant la bouteille de coca encore fermée qu’il tenait dans la main. Il se leva et s’empara de mes lèvres. Son baiser possessif que j’affectionnais tant me mit sur le champ les sens en émoi. Je déposais je ne sais comment ni où mon plat. Mon bras autour de son cou, il me porta sur le lit au drap si soyeux. Je me mit à le caresser. Ses muscles saillant et dorée à la lumière me titillait franchement les neurones.
Arnaud était grand et bien bâti. Sa stature d’apollon grec me faisait tellement zizirre que je me perdais parfois dans sa contemplation. Normale, sa mère était d’origine grecque. De plus tout ce temps passé en mer lui donnait ce délicieux hale de galette bien dorée !
Arnaud me retira ma robe de chambre avant de s’emparer de sa main droite de l’un de mes seins, tandis que sa langue traçait des arabesques mielleuse sur ma peau. Je me cambrais de plus en plus, l’invitant à prendre mon corps tout entier. Sa langue descendit plus bas, bien plus bas encore m’arrachant un cri de plaisir. Sa langue remonta bien plus tard, après avoir fouillé dans les profondeurs de mon intimité. C’était exquis, j’avais la larme à l’œil tellement c’était bon. Arnaud était le seul homme qui prenait tout son temps pour me donner du plaisir. Avec lui, j’avais pas besoin de pénétration : ses caresses me suffisaient amplement.
-je vais te montrer quelque chose ! me murmura-t-il alors que ses dents jouaient de mon lobe d’oreille.
Il se leva, et s’empara de la bouteille de coca.
- Que fais-tu ??
-tu va voir, tu men dira des nouvelles.
Il décapsula la bouteille avant de m’allonger sur le dos. Sa main me titillait le clitoris tandis qu’il vidait la bouteille. Moi, je me caressais les seins, j’aimais me caresser les seins moi même.sa me donnait aussi du plaisir. Il lécha l’embout de la bouteille des qu’elle fut vide avant de me l’introduire dans le vagin. Je ne pu m’empêcher de pousser un cri de surprise. Puis sans m’en rendre compte, je me mis à avoir des spasmes. Je m’agrippais à la tête d’Arnaud tandis que de sa langue il me léchait en même le clitoris. Il introduisait la bouteille tout doucement, c’était magique. Je ne pu retenir mon cri de jouissance, c’était phénoménal ! Je sais que ce soir là, les chambres à côté et même les maisons alentours m’ont entendu. Mais je m’en fiche, j’avais pris mon pied comme jamais auparavant. Je ne sais pas si c’est le froid de la bouteille, la langue d’Arnaud ou le gaz qui s’échappait peu à peu en moi mais franchement, je le referais volontiers !

PartieV


Le temps était agréable, et l’air était frais. Les doux rayons de soleil me caressaient tendrement la peau et me donnaient une belle couleur caramel. Arnaud n’arrêtait pas de me contempler, j’étais contente, mon maillot ne le laissait pas indifférent.
-Ton maillot de bain te va à ravir ma perle !
-T’en est vraiment sûre ?
-Si je te le dis ! Pourquoi te mentirais-je ?
-Alors pourquoi il est encore sur moi ?
Arnaud me regarda avec un sourire tendre avant de me lancer :
-Tu n’es plus avec Paul, c’est sa ?
Il savait tellement lire en moi, que je ne pouvais vraiment rien lui cacher !
- Oui ! dis-je simplement en me mettant à ses cotés.
Arnaud m’ouvrit les bras, dans lesquels je me réfugiais avec une moue. Il me caressa tendrement les cheveux tout en m’écoutant lui exprimer mon dégoût pour cet homme qui m’avait tant fait miroiter des choses vaines.
Il m’embrassa tendrement, comme pour me consoler et nous terminâmes la journée sous les draps. Sérieusement, cette partie de jambe en l’air m’a fait énormément de bien. Je savais que le sexe était pour moi un remède à tous mes mots, mais le sexe avec Arnaud, c’est carrément autre chose ! C’est comme une explosion, un volcan, un déluge…c’est tout simplement fabuleux, merveilleux. C’est un amant parfait. Le plat de langouste ayant aidé, nous étions à la cinquième fois en une journée. Trop délire quoi ! Je me sens trop bien avec lui. Je m’ouvre trop facilement à Arnaud, et sans rien cacher. Il est mon rempart, mon rocher, je m’appuie beaucoup sur lui et sa, c’est réciproque. Nous sommes vraiment des âmes sœurs ! Vous me direz pourquoi je ne suis pas avec lui ? Et bien, il est marié et je ne veux pas être prise pour deuxième épouse. Je préfère rester la maîtresse ! J’ai plus d’avantage comme sa ! Voilà.
-Tu es délicieuse quand tu fais l’amour Tamy ! murmura tendrement Arnaud en me baisant le creux du dos.
Couché sur les genoux d’Arnaud, je prenais plaisir aux jeux de ses fins doigts sur ma peau et de sa bouche. Je fermais les yeux pour savourer ces purs moments de bonheur. On frappa à la porte du bungalow. Je me levais et me dirigeai vers la douche. J’avais besoin d’aller au petit coin. Enfilant son peignoir, Arnaud alla ouvrir.
Le diner était servi. Un ensemble de mets aussi raffiné les uns que les autres. C’est sûre, « je prendrais bien des kilos en supplément » !

Partie IV


La semaine avait repris. je passais maintenant à autre chose. de toutes les manières, il le fallait bien: il me fallait des sous pour ma vie de princesse.
Analysons le graphe sur mon ordinateur avec attention, je fut surprise par la sonnerie de mon téléphone. à la deuxième sonnerie, un peu agacé mais toujours avec le sourire dans la voix, je décrochais.
-Allô ma perle des îles!
je ne put empêcher mon cri de joie; il était enfin sur terre et comme d'habitude, au bon moment. ma voix se fit donc douce et mielleuse. c'est sûre, les deux prochains jours seront tout feu, tout flamme. j'en frissonais déjà d'excitation et de plaisir.
Sa voix chaude et suave me donnait des frissons, réellement de partout. il m'invitait à la plage, à Assinie, dans un complexe que je savais déjà. comment prendre une permission? pfiou, j'en avait deja pris la semaine dernière! je savais pas. la meilleur solution, c'etait le coup de la maladie. mais le problème, j'en aie tellement fait, que c'est sûre, ma patronne me croirait plus! bon i me fallait urgement allé me chercher des lingeries du tonerre et je savais déjà ou les trouver: au "Péché Mignon"!
c'est le sourire aux lèvres que Leaticia Adoumbré me trouva. leaticia, c'était ma meilleure amie.
-à voir ton sourire, je parierais mon salaire qu'Arnaud est de passage dans la capitale!
-Je ne peux vraiment rien te cacher tu sais! dis-je dans un éclat de rire.
-Et pour combien de temps cette fois? quarante cinq minute? fit elle en se moquant un peu de moi.
-Il repart demain soir pour Johanesbourg!
-Ah sa! je sens que la nuit va être torride!
-Sa tu l'as dit!
Nous fûmes logé au bungalow habituel. Dans mon bikini assez sexy je trouve, je comptemplait cet homme que j'aimait et de qui tout me separait. j'avais fuit finalement mon bureau, sans un mot pour ma directrice. je sens que mon retour sera carabiné mais bon! j'avais bien besoin de me changer les idées après mon week end désastreux non?

Partie III


Le diner avait à l'évidence bien débuté: un cocktail "îles canaris" doux et sucré avec juste ce qu'il faut de liqueur pour détendre le corps et les sens; une entrée variés, aigre doux et délicieux. à vrait dire, tout ces chichis m'intéressaient que très peu: c'est mon déssert qui m'intérèssait le plus. et je ne manquais de le lui signifier par des oeuillades et des gestes assez éloquants: une légère caresse de la main, le jeu avec la mèche, le passage de la langue sur les lèvres avec lenteur, la jambe sous la table un peu baladeuse... rien n'y faisait, il ne cédait pas! c'est à croire que ce soir, il était trop concentré sur ce qu'il avait à faire et ceux pourquoi il m'avait invité. et moi aussi d’ailleurs! j'avais même fais une manucure!
le dîner commençait à s'éterniser à mon avis et franchement je perdais patience: on en était au café quand même!
-Tu voulais me voir, mon chou?
-Oui Tamy, je voulais te parler de certaines choses!
-Ah oui, et quoi précisément? j'espère que c'est pas trop grave!
Il ne répondit pas, et fit un visage assez inquiétant , bloquant ma jambe en pleine activité de recherche. s'il faisait cette mine là, c'est que ce qui devait sortir de sa bouche était bien grave.
-Tu sais Tamara, il faut que nous arrétions notre relation!
je ne put retenir mon rire de gorge. franc et nerveux! Je n'arrivait pas à le croire! Je voulait hurler, mais c'est juste le rire qui me sortait. Paul me regardait avec des yeux ébahis. il ne savait pas pourquoi je riait et je ne lui expliquerais pas!
-Ok, Paul! c'est très drôle...Parlons sérieusement maintenant! Que voulais tu me dire?
-Tu sais Tamara, il y a beaucoup de choses sur lesquels je peux plaisanter mais sincèrement là, je n'en aie vraiment pas envie. Je te parles de tout mon sérieux: oublie moi Tamara!
et il se leva, me laissant là sans aucune explication et un dégoût profond pour les hommes. je regardais la chaise, placé devant moi, où il avait osé s’asseoir pour rejeté du revers de la main tous nos projets commun. franchement, quel mufle!
Posté devant ma fenêtre, j'essayait de retenir mon envie de me faire un homme ce soir, mais mes larmes ne s'arrêtait pas de couler. j'avais miser sur ce Paul pour qu'il me largue ainsi sans explications!

Partie II

Il est vrai que je ne sais communiquer qu'à travers qu'un seul moyen: mon corps. c'est le seul atout que j'aime d'ailleurs utilisé car pour le moment il fait beaucoup d'heureux. mais suis je heureuse moi? je me pose à chaque fois cette question. vous comprendrez donc que sa veut dire au moins trois fois par jour!
je me demande à chaque fois que je fais l'amour ce que je ressens réellement. un tas de trucs insignifiants , mais une seule chose palpable: l'insactifation!
Je sais vous vous demandez si je ne fais rien d'autre dans ma vie! et bien si! je suis responsable marketing dans une grosse structure de la place. et je peux dire que niveau travail, sa va bien, àpart mes absences bien évidement! je vais vous parler un peu de moi si vous voulez bien. je suis une jeunette de 29 ans, d'origine martiniquaise par ma mère et ivoirienne par mon père (qui lui même à une origine mitigée). je suis enfant unique de mon père et ma mère, j'ai donc aucune pression. je gagne bien ma vie, un salaire a six zero, un bel appartement offert par l'un de mes bienfaiteurs, une cadillac blanche... bref, tout ce qu'une fille peut désirer. que demander de plus? ah oui, j'ai un petit ami, Paul bel étalon, bel pointure, tuné à mort, mais serieusement il n'a aucunément mon temps alors, il ya aussi Christian, Patrick, Yves et Arnaud (je le kiff trop celui là! un ingénieur en mine et pétrole, exerçant sur une plateforme pétrolière, disponible deux mois sur six, le pieds pour une fille comme moi! mais bon, il n'est pas toujours là, et Paul, lui est là! à propos, j'ai un rendez vous ce soir avec lui. un restaurant chic, c'est sur, sa send la bague à plein né. que vais je me mettre tiens??
petite robe très sexy avec les chaussures qui vont avec. un maquillage léger qui sublime mon regard de braise, un sourire pétillant sans oublier son "cadeau" à lui: des dessous pris cet après midi chez ETAM lingerie de couleur rouge passion. à coup sûr après la bague, c'est le bébé! lol... je rigole! chui sous pillule.
un claxon et me voila descendant les marches toute fievreuse... la soirée risque d'être palpitante vous trouvez pas?

Partie I

Mon nom est Aramata Koné! mais mes amis m'appel Tamara ( c'est plus sexy vous trouvez pas?).
J'ai perdu ma virginité à l'age de 14 ans. sérieusement, sa n'a pas été! je m'attendais a un "déferlement des sens", "un tourbillon" et tous ces trucs zarbs dont je ne savais pas encore le sens que l'on nous décris dans les romans à l'eau de rose comme les Harlequins ou les Adoras. Mais rien, rien de tout ça. c'était un pur désenchantement! Pfiou! une douleur et voilà c’était fait. Rien de plus.
Je me rappel encore ce jour là: j'avais tirer les cours. mon copain de l'époque avais 5ans de plus que moi. et alors? j'étais bien avec lui, il me faisait me marrer, il me plaisait bien et il embrassait bien! pour moi, sa suffisait a franchir le cap. je sais, c’était puéril et idiot. mais j'en avait envie et je me suis faite plaisir. on s'est caché dans sa chambre, prétextant un devoir. sa mère ne nous embêtait jamais quand il disait vouloir "m'aider" pour mes devoir. on a commencé par des petits attouchements, comme d'habitude puis il m'a guidé. sa na pas duré plus de cinq minute. c'était salissant et dégoutant. pour moi en tout cas! lui il souriait comme un idiot et il transpirait comme un porc: une sale expérience en tout cas. je sais pas si c'est cette insatisfaction ou autre chose, mais la quête de l'amour pour moi est devenu un challenge perpétuel, une finalité, un but que je devais atteindre. en chaque homme que je rencontrais, le sexe primais toujours. et je m'en fichais pas mal du nombre de mec qui me sautais, j'avais juste besoin d'un sexe dans ma foufoune.
je sais, je suis un peu grossière, mais je ne sais pas dire les choses autrement ni les cacher. je le dis comme je le pense, qu'on aime ou qu'on aime pas.
De toutes les manières, je suis belle et désirable. je suis jeune et sais m'y prendre avec les hommes, alors, que demander de plus? les hommes adorent les filles comme moi: belle et insouciante...